bon éthylotest électronique
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Les fonctionnalités indispensables d’un bon éthylotest électronique

Chaque week-end, le même scénario se répète sur les routes. Des conducteurs prennent le volant après quelques verres, souvent persuadés d’être sous le seuil légal. Erreur fatale. L’alcool est impliqué dans près d’un tiers des accidents mortels en France. Pourtant, il suffirait à ces conducteurs de se munir d’un éthylotest électronique pour connaître leur alcoolémie. Ce type d’appareil est aujourd’hui plus précis, plus fiable, et se glisse aisément dans une boîte à gants.

La précision et la fiabilité d’un éthylotest électronique

Quand on parle d’éthylotest électronique, la précision n’est pas une option. C’est la base. Les modèles actuels embarquent des capteurs électrochimiques qui traquent l’alcool dans le souffle. Cela évite l’angoisse des faux positifs qui caractérisait les anciens modèles chimiques. Un bon appareil doit aussi présenter un affichage net du taux en grammes par litre de sang ou en milligrammes par litre d’air expiré. Ainsi, il n’y a pas d’ambiguïté possible quant à l’aptitude à conduire.

En France, deux normes encadrent ces dispositifs : NF EN 16280 pour l’autocontrôle et NF EN 15964 pour les modèles utilisés par les forces de l’ordre. Ces homologations garantissent que l’appareil fonctionne correctement, même par temps froid ou humide. Pour acheter un éthylotest électronique vraiment fiable, il faut donc vérifier la présence de ces certifications. Des spécialistes comme Securimed proposent justement des modèles homologués avec des plages de mesure pour chaque usage. La durée de vie compte aussi. Un appareil de qualité indique quand l’étalonner, généralement une fois par an. Cela permet de préserver la précision du capteur et d’éviter les mauvaises surprises lors d’un contrôle routier.

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L’ergonomie et la praticité pour une utilisation simple

À quoi bon avoir un éthylotest électronique précis s’il reste au fond d’un tiroir ? Les meilleurs modèles du marché sont simples d’utilisation : on allume, on souffle et on lit le résultat. Nul besoin de consulter le manuel d’instruction à 2 heures du matin à la sortie d’un restaurant. De plus, l’affichage doit sauter aux yeux, même dans un parking mal éclairé. Les écrans LCD y parviennent. Ils sont souvent accompagnés d’alertes sonores qui ne laissent aucun doute quand le seuil légal est dépassé.

La taille compte aussi. Un bon éthylotest électronique se glisse dans une poche ou une boîte à gants. Les modèles actuels pèsent généralement quelques centaines de grammes, l’équivalent d’un téléphone. Pour la question de l’alimentation, deux écoles s’affrontent : piles classiques ou batteries rechargeables ? Le tout est d’avoir une autonomie de plusieurs dizaines ou centaines de tests. L’hygiène n’est pas négociable. Les embouts à usage unique, emballés individuellement, évitent toute contamination entre les utilisations.

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Les fonctionnalités d’un éthylotest électronique pour des usages professionnels

Dans une brigade de gendarmerie ou un service d’urgence, on ne joue pas dans la même cour qu’un particulier. Les éthylotests professionnels sont de véritables petits laboratoires portables. Leur sensibilité détecte des taux jusqu’à 3 mg/L d’air expiré. Les nouveaux appareils peuvent aussi être connectés à une imprimante portable. Ils facilitent donc le travail des forces de l’ordre qui souffrent souvent d’avoir les jambes lourdes après de longues heures de contrôle en position statique sur le bord des routes.

Ces appareils encaissent les coups. Chutes, chocs, températures extrêmes de -10°C en montagne à +50°C dans un véhicule en plein soleil, rien n’altère leur précision. Les modèles médicaux certifiés selon le règlement européen 2017/745 font partie du haut du panier. Ils accompagnent quotidiennement les médecins urgentistes et addictologues dans l’évaluation de l’alcoolémie.